Ce conte est bien plus proche de la véritable histoire d’une fille malchanceuse du 21e siècle, que de l’histoire d’une pauvre gamine encore effarouchée par l’obscurité des bois à l’état sauvage plein de bébêtes féroces assoiffées de sang chaud. Après, dans ces bois lugubres, il faut reconnaître qu’il devait y avoir de quoi flipper. Dans cette fable sordide, ce qui est sauvage, ce n’est plus le bois sombre, ce qui est dangereux, ce ne sont plus les bêtes féroces, ce qui est immonde, c’est l’absolue cruauté d’un être parfaitement psychopathe et totalement dégénéré. Préparez-vous. Le mal rôde, la laideur est là, tapie dans l’ombre d’une chambre douillette malgré sa déco gothique d’enfer.
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Acide Jovial
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